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Le 21e siècle est le "siècle asiatique". D'Istanbul à Tokyo, de Téhéran à Samarkand en passant par Bangkok, Hanoï et Pékin, c'est notre avenir qui se dessine également. Une Asie de contrastes, où s'entremêlent tradition et dynamisme impétueux, abandon au destin et foi dans le progrès, pauvreté mais aussi richesse fabuleuse, prend de plus en plus en charge le destin du monde. L'Asie a-t-elle jamais été aussi séduisante, pleine de promesses et aussi mystérieuse qu'aujourd'hui ? Jamais auparavant une équipe de tournage n'avait osé traverser les hautes plaines d'Iran, les forêts tropicales du Myanmar, les déserts de Chine et les métropoles de millions de personnes du Japon en un seul voyage. En plus de six mois, nous nous rendons de Berlin à Tokyo, parcourant plus de 27 000 km sur une seule route, la "route asiatique n° 1". Toujours à la recherche d'histoires passionnantes et émouvantes, le téléspectateur vit le voyage de près, avec tous ses défis, ses revers, mais aussi ses moments d'une beauté unique. Plus d'une fois, l'équipe se posera la question : est-ce qu'on va y arriver ? Arriverons-nous à la destination de notre voyage ? Berlin à Istanbul se fait en un seul voyage. Prague, Budapest et Belgrade ne sont que des étapes de transit. L'équipe atteint la frontière européenne à Istanbul. Premières rencontres sur le Bosphore. Un imam travaille comme pasteur dans un quartier branché de la mégalopole turque et une voyante dit à l'équipe comment le voyage va se dérouler. Apparemment pas sans accroc. L'équipe rencontre l'histoire récente de la Turquie dans la capitale Ankara, et en Anatolie les traces d'un empire disparu depuis longtemps. Dans le village d'Akdag, qui n'est habité qu'en été, ils croisent des Turcs de Munich et de Berlin, et sur le mont Ararat, ils rencontrent un homme qui garde l'arche de Noé - ou ce qu'il croit être l'arche. Les voyageurs ont maintenant près de deux mille kilomètres de route à parcourir à travers l'Iran, s'ils sont autorisés à franchir la frontière...