En Allemagne de l'Ouest, avant la réunification, mais aussi après, les crèches ont longtemps été jugées de manière extrêmement critique. On disait que les petits enfants devaient rester avec leur maman et non pas être placés dans un "établissement de garde". Au milieu des années 1980, le cinéaste Klaus Stanjek a documenté le quotidien d'une crèche munichoise pour enfants de un à trois ans. Trois éducatrices y étaient responsables de 14 enfants. Leur travail permettait à une mère célibataire d'exercer elle-même un travail - tandis qu'une autre famille voulait permettre à son jeune enfant d'avoir un contact quotidien avec d'autres enfants.
Une excursion dans l'histoire de l'éducation préscolaire.
En Allemagne de l'Ouest, avant la réunification, mais aussi après, les crèches ont longtemps été jugées de manière extrêmement critique. On disait que les petits enfants devaient rester avec leur maman et non pas être placés dans un "établissement de garde". Au milieu des années 1980, le cinéaste Klaus Stanjek a documenté le quotidien d'une crèche munichoise pour enfants de un à trois ans. Trois éducatrices y étaient responsables de 14 enfants. Leur travail permettait à une mère célibataire d'exercer elle-même un travail - tandis qu'une autre famille voulait permettre à son jeune enfant d'avoir un contact quotidien avec d'autres enfants.
Une excursion dans l'histoire de l'éducation préscolaire.