Le film raconte l'histoire d'une petite famille en Azerbaïdjan lors d'une journée qui va changer leur vie de manière décisive. Vingt-quatre heures dans la vie de ces gens, vingt-quatre heures au cours desquelles la solidarité et le respect mutuels ne sont pas seulement remis en question, mais changent dramatiquement.
Samir et Fidan ont la trentaine et sont mariés depuis de nombreuses années. Ils appartiennent à la classe moyenne et sont coincés avec leur fils de 18 ans, Mahmud, dans un appartement de deux pièces dans un grand blockhaus à la périphérie de Bakou. Samir est un acteur au chômage qui doit parfois se contenter de mauvais rôles dans d'obscurs spots publicitaires. Sa femme Fidan est pédiatre dans un hôpital. Leur fils est un étudiant qui, pour des raisons financières, est contraint de vivre chez ses parents. Et pourtant, tous trois se distinguent nettement des membres normaux et traditionnels d'une famille azerbaïdjanaise. Leur comportement n'a pas que des avantages, mais aussi, dans ce cas, des conséquences moins agréables : Aliénation, malentendus et entêtement.
L'histoire se déroule alors que la famille passe un dimanche prévu de longue date à la plage. Des conflits éclatent déjà sur le chemin de la plage. Les événements dramatiques qui se déroulent sur la plage, un lieu censé les rendre joyeux, révèlent tous les véritables problèmes de la famille, mais aussi de la société en général.
« Avec une virtuosité impressionnante, ce drame à l'interprétation tout à fait politique déploie la stagnation d'une famille qui ne trouve pas d'issue à son isolement intérieur. - À voir ! » (Dictionnaire du cinéma international)
« 'End of Season' raconte le douloureux cercle d'une famille qui tourne en rond sur elle-même. Comme la vie s'arrête et que les images ne peuvent être prises que dans l'inertie intérieure de la famille, tout commence à se répéter et à se ressembler de plus en plus. Cela peut certainement être lu comme une grande allégorie de la société azerbaïdjanaise. Mais même sans les dimensions politiques, 'End of Season' est un premier roman profond, plein de rayonnement poétique et d'intuitions bouleversantes ». (Sebastian Seidler, sur : filmdienst.de)
Le film raconte l'histoire d'une petite famille en Azerbaïdjan lors d'une journée qui va changer leur vie de manière décisive. Vingt-quatre heures dans la vie de ces gens, vingt-quatre heures au cours desquelles la solidarité et le respect mutuels ne sont pas seulement remis en question, mais changent dramatiquement.
Samir et Fidan ont la trentaine et sont mariés depuis de nombreuses années. Ils appartiennent à la classe moyenne et sont coincés avec leur fils de 18 ans, Mahmud, dans un appartement de deux pièces dans un grand blockhaus à la périphérie de Bakou. Samir est un acteur au chômage qui doit parfois se contenter de mauvais rôles dans d'obscurs spots publicitaires. Sa femme Fidan est pédiatre dans un hôpital. Leur fils est un étudiant qui, pour des raisons financières, est contraint de vivre chez ses parents. Et pourtant, tous trois se distinguent nettement des membres normaux et traditionnels d'une famille azerbaïdjanaise. Leur comportement n'a pas que des avantages, mais aussi, dans ce cas, des conséquences moins agréables : Aliénation, malentendus et entêtement.
L'histoire se déroule alors que la famille passe un dimanche prévu de longue date à la plage. Des conflits éclatent déjà sur le chemin de la plage. Les événements dramatiques qui se déroulent sur la plage, un lieu censé les rendre joyeux, révèlent tous les véritables problèmes de la famille, mais aussi de la société en général.
« Avec une virtuosité impressionnante, ce drame à l'interprétation tout à fait politique déploie la stagnation d'une famille qui ne trouve pas d'issue à son isolement intérieur. - À voir ! » (Dictionnaire du cinéma international)
« 'End of Season' raconte le douloureux cercle d'une famille qui tourne en rond sur elle-même. Comme la vie s'arrête et que les images ne peuvent être prises que dans l'inertie intérieure de la famille, tout commence à se répéter et à se ressembler de plus en plus. Cela peut certainement être lu comme une grande allégorie de la société azerbaïdjanaise. Mais même sans les dimensions politiques, 'End of Season' est un premier roman profond, plein de rayonnement poétique et d'intuitions bouleversantes ». (Sebastian Seidler, sur : filmdienst.de)